Arrvier plutôt tendut...

Iris arriva au galop avec Yukiko, suivit de Laure. Les sanbots sur les galets d'une des allées decondaire faisait un petit bruit. Elles arrivèrent devant la fontaine, la conturna pour arrvier devant une porte de taille moyenne qui était uène des portes privé pour arrivé dans le hall d'entrée.
A penne les cheuveux s'arretaire une deux écuillés vinrent au près d'elles. Elles décendirent de leurs montures, et les hommes regagnèrent les écuries accompagné de deux sublime étalons.
Lorsqu'il furant assez loin Irs se raprocha de ses soeurs et leurs parla d'une voie un peu plus faible que d'habitude.

"Et maintenant vous proposez quoi ? Si sa se trouve Sasuke n'est déjà plus là !"

Elle monta rapidement les trois marche qui la séparait de la porte, et déposé sa main sur la poignet scultée. Elle se tourna vers les deux autres filles attendant leurs plans...

Laure avait été très tendue durant toute cette expédition, maintenant allait arrivée le moment le plus important et elle l'était encore plus. Elle était strèsée mais avait quand même un plan.

"Vous deux vous pouriez entrée en force par cette porte, il ne s'y attendra pas et moi je passerait par la porte principale pour faire diversion ! Puis vous le mettrez hors d'état de nuire et nous irons ensemble chercher le recette pour cette possion !"

Elle elle regarda en se demandant si sa allait leur plaire.

Iris baissa à moitier la poignet tout doucement, les yeux fixés sur ses soeurs, le visage sens aucun sentiment.

"Je pense que c'est le meilleur des plans, quand dis-tu Yukiko ?"

Elle avait bouger ses lèvres pour prononcer ses quelques mots mais était restée imobile avec le reste de son, corps. Toujours aucune émotion n'était visible, ses yeux était vide, froid...
Elle baissa la poignet entièrement et la porte souvrit d'un demi centimètre dans un petit grissement. Elles avaient entendut se bruit car un silence digne d'un monastère les entourait.
Puis sa grande robe se transformat en une tenue beaucôup plus légère, de façon à ètre plus discraite. C'était une tenue qu'elle ne méttait presque jamais, car elle était composée d'une sorte de pantalon, chose qui à cette époque était choquante chez une femme.