L'entèrement d'Ishiro

Cela faisait environ une semaine que son père s’était éteint. L’enterrement avait été digne du plus grand Roi de tout les temps. Sa tombe était à côté de celle de Noualine sa femme. Les plus belles et les plus rare des fleurs avaient été déposées par tous les habitants du royaume.
Iris ne se sentait pas le courage de rentrer au château, elle se posait trop de questions auxquelles elle ne trouvait pas de réponses.
Elle alla sur la prairie recouverte de neige et de gel, l’hiver était rude et toutes plantes étaient gelées, comme pour montrer leurs tristesses.
Elle avait laissé pour une fois ses cheveux libres.
Cela faisait plusieurs jours qu’elle n’avait pas utilisée l’enchantement, c’était sa façon de faire son deuil d’une certaine manière.
Elle ferma les yeux laissant couler une larme, c’était la larme qui supportait le plus grand des malheurs de sa vie.
A chaque fois qu’elle fermait les yeux, il y avait ces images, ces maudites images de bonheur qu’elle ne vivra plus jamais. Dans tous ses souvenirs d’enfance il y avait son père ou sa mère.
Durant tout l’enterrement elle avait la tête baissée, les yeux mi-clos, le corps figé dur ses pensées. Durant cinq jours le corps d’Ishiro était couché dans une sal funéraire entourée d’homme de religion priant des heures entières pour accompagner son esprit vers le Paradis qu’il méritait. Seul la famille proche avait eu le droit de venir le voire durant ses quelques jours. Ensuite il avait été placé dans un cercueil puis transporté dans tout le royaume pour arriver à l’église, durant cette marche des dizaines de personnes se rajoutaient derrière les trois sœurs qui suivaient de cortège sens un bruit. A l’église tout le monde étaient anéantit, il n’avaient pas seulement perdu un roi, mais un ami pour la plupart !
Ensuite son corps avait été mis en terre. La cérémonie avait durée la journée entière, une bien triste journée. Yukiko et Laure avaient décidé d’accompagner leurs père vers ses jours éternels en restant au cimetière entourées d’une foule impressionnante. Iris ne s’était pas sentit la force de rester. Elle était donc allé à la prairie seule, discrète, une croix autour du coup.